« Mettez le short de 95% des hommes dans de l’eau chaude…Et bam votre tasse de thé est prête. Le short n’est pas une prescription médicale. Arrêtez de nous tuer avec les odeurs… »
En Afrique et au Cameroun en particulier, le port du short remplace aisément celui du slip ou du caleçon. Selon plusieurs études, 94% des femmes changent de culotte chaque jour, soit nettement plus que dans les années 50 où elles n’étaient que 17% à le faire. En revanche, ils ne sont que 1 hommes sur cinq à changer de slip, caleçon ou short tous les jours.
Plusieurs le reconnaissent et semblent ne pas trop s’en plaindre, ne dit-on pas toujours en Afrique qu’un « bon mâle est celui qui sent le bouc ? ». De très nombreux jeunes sont ainsi concernés et pas que.
On retrouve par ailleurs une accentuation de la tendance chez les personnes âgées où seulement 30% de plus de 65 ans changent tous les jours de sous-vêtement.
Derrière ce qui s’apparente à une négligence peut se cacher un trouble du comportement, le syndrome de Diogène. Selon Diogène France, ce syndrome “se caractérise par une négligence extrême de l’hygiène corporelle et domestique et une forme extrême d’accumulation maladive et compulsive de toute sorte d’objets et de détritus.”
Question : pourquoi selon vous les hommes ont du mal à changer leurs sous-vêtements ? Est-ce de la négligence, de la saleté ou simplement une attitude purement masculine ?